Jette l’enfance, le coeur de tes promesses, jette tout, jette tout, retourne à l’ivresse
L'humeur dévie, varie, diversifie les envies. Il y a des heures soleils et d'autres brouillard. Qu'importe. Les bas, les très bas et les trop profonds peuvent être si vite oublié le temps de. Bien sûr qu'hier, on a pris un fou rire en cours de film. Mais pause conte de fée au pays de la carotide, merci Burton. J'en ai presque oublié de fermer les yeux.
La dédicace se dessine plutôt. En une après-midi, c'était bouclé. Il paraît que ce n'est pas si simple dans la vraie vie. Mais puisqu'il faut être en campagne, autant le faire bien. Ce ne sera pas qu'un prof de collège. Bien plus. Lui, il a réussi à l'écrire ce livre. Il a pu aligner mots et idées du début à la fin. Entre réel et imaginaire. Et je m'y promènerais bien. Je m'y suis bien promenée, d'ailleurs. Hop! troisième auteur. Je n'en aurais jamais autant cotoyé que cette année. Et tu sais quoi? J'aime être la première lectrice objective d'un bouquin. Cà te fait. Je sais pas comment l'expliquer. Mais c'est là. Un point c'est moi.
Je leur ai écrit un mail aussi long qu'une liste de courses. Je devais leur dire que j'étais au bord du craquage nerveux. Jeudi, je me serais mise à pleurer pour un rien, tellement. Réaliser que tes prochaines vacances ne sont que dans sept mois... Pfff. Tiendrais-je seulement? Tu l'as voulu? Oui.Non. Enfin si. Et bien tu l'as. Maintenant, débrouille-toi avec. Et ça passe. Le temps de voir leurs réponses et de se dire que. Vivement la semaine prochaine qu'on éclate de rire pour un rien. J'attends nos allers et retours en métro. Trop plein de choses à dire.
25 jours plus tôt, j'étais déboussolée et déçue. 15 jours plus tôt, je me suis levée. Comme si de rien. Hier encore, j'avais 20 ans. Fini. Ca aussi, ça s'achève. Au bout de cette dizaine, je. Chuut. Et ce matin, je me suis levée, prête à prendre ce qui adviendrait. Libre de ce que je prendrais et donnerais. Tant pis. Tant pis. Tant mieux. Oui. Je pourrais presque vous souhaiter une bonne année, presque. N'exagerons pas. Pour 2008, je continue. Quoi, je sais plus. Et ce n'est pas bien grave. Je continue.
Que les bruits se taisent. Que les heures se fassent.
La dédicace se dessine plutôt. En une après-midi, c'était bouclé. Il paraît que ce n'est pas si simple dans la vraie vie. Mais puisqu'il faut être en campagne, autant le faire bien. Ce ne sera pas qu'un prof de collège. Bien plus. Lui, il a réussi à l'écrire ce livre. Il a pu aligner mots et idées du début à la fin. Entre réel et imaginaire. Et je m'y promènerais bien. Je m'y suis bien promenée, d'ailleurs. Hop! troisième auteur. Je n'en aurais jamais autant cotoyé que cette année. Et tu sais quoi? J'aime être la première lectrice objective d'un bouquin. Cà te fait. Je sais pas comment l'expliquer. Mais c'est là. Un point c'est moi.
Je leur ai écrit un mail aussi long qu'une liste de courses. Je devais leur dire que j'étais au bord du craquage nerveux. Jeudi, je me serais mise à pleurer pour un rien, tellement. Réaliser que tes prochaines vacances ne sont que dans sept mois... Pfff. Tiendrais-je seulement? Tu l'as voulu? Oui.
25 jours plus tôt, j'étais déboussolée et déçue. 15 jours plus tôt, je me suis levée. Comme si de rien. Hier encore, j'avais 20 ans. Fini. Ca aussi, ça s'achève. Au bout de cette dizaine, je. Chuut. Et ce matin, je me suis levée, prête à prendre ce qui adviendrait. Libre de ce que je prendrais et donnerais. Tant pis. Tant pis. Tant mieux. Oui. Je pourrais presque vous souhaiter une bonne année, presque. N'exagerons pas. Pour 2008, je continue. Quoi, je sais plus. Et ce n'est pas bien grave. Je continue.
Que les bruits se taisent. Que les heures se fassent.
Par Cio | D'hier | Vendredi 25 Janvier 2008, 00:31 en Demain | Entre crochets | 6 mots
par ecilora, le Vendredi 25 Janvier 2008, 21:19
Souffler une douceurOui, hein! Cà paraît incroyable. Mais à ce qu'il paraît ça arrive quand tu es en alternance... N'empêche, ça fait mal. Si on pouvait arriver tout de suite en aout, ce serait mega mieux! :)
C'est vrai qu'être la première lectrice, ça t'accorde la primeure de je ne sais quoi. Puisque bien sûr, je ne sais pas comment j'aurais pu le dire si je n'avais pas accroché. Heureusement, je me suis baladée sous ses pas. Sinon... Mais peut-être aussi que la lecture change lorsque c'est quelqu'un qu'on côtoie. Et je n'ai pas assez d'histoires lues derrière moi pour émettre des comparaisons vaseuses entre tel et tel.
Douceurs
1 -par Delirium-Tremens, le Vendredi 25 Janvier 2008, 19:02 Souffler une douceur