[ Et la lune est la seule à danser le tango ]
Dans le ciel, il n'y avait plus d'étoiles. Elles étaient toutes tombées sur la ville. Les réverbères par centaines de milliers. On tendait les doigts pour deviner où on était. Dans le ciel, les couleurs éclataient. A droite. A gauche. Devant. A l'Ouest. Des couleurs à chaque coin du ciel. Alors, bien sûr que je n'ai pas vu les reflets sur la Seine. Mais de là-haut, il y a eu tous ces autres. C'était la première fois que j'en voyais autant devant les yeux. Ensuite, les nuages artificiels glaçaient la nuit. Mais la tête en l'air, je voyais autre chose. Au final, on n'a peut-être pas vu grand chose. Mais le temps de quelques longues minutes, j'ai surplombé mon monde. Ce n'était pas Paris vu du Sacré-coeur, certes. Le coeur s'est tout de même emballé.
Par Cio | D'hier | Dimanche 13 Juillet 2008, 21:11 en Demain | A l'infini | 2 mots
par ecilora, le Mardi 15 Juillet 2008, 15:10
Je me suis promenée le long de ses rues. Dans le noir et blanc et le long de ses immeubles en étoile. Je me suis arrêtée devant l'hôtel de ville. Mais ces photos là, celles-ci juste au-dessus, elles m'ont fait du bien. Sans vraiment savoir pourquoi.Souffler une douceur
Merci d'être passée. Merci.
Douceurs
1 -par passionnee-par-les-reves, le Lundi 14 Juillet 2008, 22:31 Souffler une douceur