Partie à l'aube de cette semaine
A un instant, ne plus vraiment savoir pourquoi. Le sommeil entre parenthèses le long des trains. Le temps perdu s'évapore. Et dans la vitesse perdre pied. Vasciller, chuter, peut-être. Ou juste faillir. Un peu. Beaucoup. Pas du tout. Je le suis à cet instant. Le froid craquèle le visage. Besoin de s'engouffrer sous la chaleur. Retours à la vie insupportable. Réchauffer les paupières, peut-être vondront-elles s'ouvrir. Les mains dans les poches et la route droite. Les pieds qui glacent et la voix qui tressautent. Je n'y arriverais pas. A contrôler mes tremblements. Et m'astreindre à mes silences assassins.
Par Cio | D'hier | Mercredi 17 Septembre 2008, 22:52 en Demain | A l'infini | 2 mots
par ecilora, le Lundi 22 Septembre 2008, 21:32
Fracassante, oui. Je me rongeais les pensées et peut-$être même mes contours pour savoir si le problème venait de moi. Ou des autres. Je n'en ai toujours pas la réponse. Mais, tu sais quoi? Tant pis.Souffler une douceur
Douceurs
1 -par passionnee-par-les-reves, le Lundi 22 Septembre 2008, 13:45 Souffler une douceur