J'ai eu un sourire vendredi pour la bonne nouvelle qu'elle m'a annoncée. Et j'ai pas voulu dire trop fort que je le savais, mais çà ne m'a pas empêché de le penser. Les nouvelles aux sourires se multiplient comme l'élan de tristesse de la semaine dernière. J'ai été voir Ensemble, c'est tout. Et. Je veux une maison comme celle-là. C'est un peu idiot. Mais pour une fois, elle était mieux que celle que j'imaginais. C'était la maison. Même si on oublie un peu la vie de Camille pour se concentrer sur celle de Franck. Philibert est... Et j'ai tellement reconnu les anecdotes que raconte maman avec Paulette. J'ai eu envie de le relire. Tout de suite après. Mais il y a mon devoir de grammaire. Et si tu savais comment çà me gave ces histoires de pronoms compléments...Les heures passent si vite. J'ai vu des coins d'appartement du Sud. J'ai eu le droit aux anecdotes. Au messages et aux mails. A bien y repenser, je ne me suis jamais doutée que ces visages croisés au détour d'une minute envahirait peut-être mon quotidien. Parce qu'il y a de ces personnes où. C'était le moment. Maintenant ou jamais. Et après, on se demande ce que çà serait s'ils n'étaient pas là. C'est un peu l'effet d'un bonbon arlequin.

Souffler une douceur

Par ecilora | D'hier | Samedi 24 Mars 2007, 22:50 en Demain | Entre crochets | 6 mots