Et l'horizon vient de changer.
Il y a des semaines que je voudrais couper. Enlever ce qui n'a pas été. Les allers et retours trois jours à la suite au commissariat pour le vol du portefeuille par exemple.
En contrepartie, il ne faudrait se souvenir que des vitrines des Galeries sur le thème d'Alice au pays des merveilles. Et un peu plus loin, au Printemps, les ours dans des bulles de savon. Il n'y avait pas grand monde et en même temps, il y avait foule.
Se rappeler de l'atelier découpage de mardi. Viens, on découpe toutes les lettres! Vous êtes sûrs? Mais oui! Trois lettres plus tard, mon cutter était sur la table. On peut faire plus simple. C'est obligé. Un coup d'oeil extérieur nous fera tout. Accorder un merci grand comme un sourire à la fin.
Dans le métro, les gens bousculent sans s'excuser. Je trouve ça triste. Alors, je descends une station plus tôt. Dans la rue, il y a l'odeur de crêpe et quand je tends la main pour un prospectus, il y a des sourires. Et des mercis. Les journées ne sont pas compliquées. Ou du moins, il ne me semble pas trop en demander.
Vendredi, le brouhaha incessant aura eu raison de moi. Je m'éclipse du salon de M*ntreuil, un mal de tête latent. A la sortie de l'école, j'attends mon neveu. Il me regarde à deux fois au pas de la porte. Et c'est comme un film au ralenti. Evidemment, à la fin, on tombe tous les deux à la renverse. Il me tend la main pour sortir et tout de suite, tout va.
A la fin, la nuit ne m'attend pas. Aussitôt arrivée, déjà endormie. Ces semaines-là, j'ai des yeux à bascule comme mes poupées.
Après demain, il sera déjà temps du calendrier de l'Avent.
En contrepartie, il ne faudrait se souvenir que des vitrines des Galeries sur le thème d'Alice au pays des merveilles. Et un peu plus loin, au Printemps, les ours dans des bulles de savon. Il n'y avait pas grand monde et en même temps, il y avait foule.
Se rappeler de l'atelier découpage de mardi. Viens, on découpe toutes les lettres! Vous êtes sûrs? Mais oui! Trois lettres plus tard, mon cutter était sur la table. On peut faire plus simple. C'est obligé. Un coup d'oeil extérieur nous fera tout. Accorder un merci grand comme un sourire à la fin.
Dans le métro, les gens bousculent sans s'excuser. Je trouve ça triste. Alors, je descends une station plus tôt. Dans la rue, il y a l'odeur de crêpe et quand je tends la main pour un prospectus, il y a des sourires. Et des mercis. Les journées ne sont pas compliquées. Ou du moins, il ne me semble pas trop en demander.
Vendredi, le brouhaha incessant aura eu raison de moi. Je m'éclipse du salon de M*ntreuil, un mal de tête latent. A la sortie de l'école, j'attends mon neveu. Il me regarde à deux fois au pas de la porte. Et c'est comme un film au ralenti. Evidemment, à la fin, on tombe tous les deux à la renverse. Il me tend la main pour sortir et tout de suite, tout va.
A la fin, la nuit ne m'attend pas. Aussitôt arrivée, déjà endormie. Ces semaines-là, j'ai des yeux à bascule comme mes poupées.
Après demain, il sera déjà temps du calendrier de l'Avent.
Par Cio | D'hier | Vendredi 28 Novembre 2008, 15:32 en Demain | A l'infini | 2 mots
par ecilora, le Samedi 29 Novembre 2008, 22:18
Oh mais je t'en prie. Ces mots là sont tout une suite de petits évènements qui m'ont permis de tenir la semaine dernière. L'odeur des crêpes et les vitrines de Noël, c'est super pour relativiser! ^^Souffler une douceur
Il ne faut pas regretter! il faut revenir! (non, non, je n'abuse pas DU TOUT!)
Douceurs
1 -par choupi, le Samedi 29 Novembre 2008, 21:49 Souffler une douceur