Franchir le fleuve, c'est rouler à gauche. C'est parler librement puisque personne ne nous comprend. C'est appréciable comme impression. Franchir le fleuve, ça veut dire le premier visa sur le passeport. Entrer en terre étrangère. Le Sur*nam.



C'est les maisons coloniales le long du fleuve. Les minibus multicolores avec chacun son slogan. Je retiens "It's never too late". Des multitudes de magasins. Les diverses statues qu'il faut chasser comme des trésors. Des statues qui chacune à sa façon témoigne de la multitude des nationalités, des origines de ce pays.



Palmentuin. J'aurais pu y rester une vie ou deux. Quatre hectares en pleine ville. Des dizaines de palmiers différents selon le guide. Et le coucher de soleil au travers de ces arbres reste un moment unique à savourer. Tout comme siroter un dernier verre à la lanterne.

 

A suivre

Souffler une douceur