L'autre rive
Franchir le fleuve, c'est rouler à gauche. C'est parler librement puisque personne ne nous comprend. C'est appréciable comme impression. Franchir le fleuve, ça veut dire le premier visa sur le passeport. Entrer en terre étrangère. Le Sur*nam.
C'est les maisons coloniales le long du fleuve. Les minibus multicolores avec chacun son slogan. Je retiens "It's never too late". Des multitudes de magasins. Les diverses statues qu'il faut chasser comme des trésors. Des statues qui chacune à sa façon témoigne de la multitude des nationalités, des origines de ce pays.
Par Cio | D'hier | Lundi 6 Septembre 2010, 23:17 en Demain | Carnet de voyage | 4 mots
par ecilora, le Mardi 7 Septembre 2010, 16:33
Le temps d'un week-end c'était peut-être un peu court... Mais c'est toute une aventure pour y aller. La pirogue jusqu'à Albina, ensuite 2h30 de route accidentée jusqu'à la capitale et ensuite des magasins partout! Et en bord de fleuve, des endroits merveilleux.Souffler une douceur
Tu y retournes bientôt?
Douceurs
1 -par Guyl'., le Mardi 7 Septembre 2010, 13:24 Souffler une douceur