De Ko*rou, je ne retiendrais pas grand chose. La ville ne m'a pas plu. Sûr, je n'y ai passé que quelques heures au final. Mais j'avais cette impression d'être dans un lotissement géant. Et. Non. Définitivement. Toutefois, la tour multicolore a valu un tour de rond-point supplémentaire. Un arrêt intempestif peut-être mais je la voulais en photo, cette tour qui me fait penser à un légo. Toutefois, c'est là-bas que je me suis posée seule en terrasse, un diabolo menthe sur la table, pour écrire mes cartes postales. Et ça devait bien être une première fois.

Ko*rou, c'est le départ pour les Îles. Et en route pour le paradis. J'aime faire du bateau. J'adore ça. Monter sur le petit voilier de mon oncle et toucher l'eau au gré du vent, c'est un petit quelque chose qui n'admet aucune comparaison. Alors, quand j'ai vu le catamaran à quai, j'ai eu un grand sourire. Je n'attendais qu'une chose: qu'ils libèrent les voiles. Mais le vent n'était pas de la partie. Il a fallu savourer le plaisir de voir la terre s'éloigner des bateaux.

 
 

A suivre

Souffler une douceur