Moi aussi je ressens ça souvent depuis quelques temps : Tout le monde s'en va. Et je ne veux pas être celle qui reste. Je ne veux pas.

Pour le reste, je trouve ça courageux de penser démission.Un truc que je ne saurai pas faire. Je crois que c'est une bonne chose là, que c'est peut etre le moment.
Et pour le reste encore, je t'envoie du courage par dessus tout.
Et t'embrasse,
 

Je ne me vois pas de courage. Tellement pas. Mais en rêver la nuit. En pleurer de fatigue, d'épuisement et tout ça, non. Je ne veux pas. Plus jamais. Et ça te décide vite.
Merci Lu. De tout. Des petits mots. Des attentions.
Je te réponds pas faute de temps mais à chaque fois, c'est tombé à pic.
T'embrasse

J't'envoie un max de courage. Pour la démission, pour la recherche, pour les matins qui vont venir ... Et de trouver vite ce dont tu as besoin ! :)

Merci mademoiselle.
Je prends les mots et le courage.
Des bises!

Cette chanson de Miossec, je l'ai depuis ce matin, dans la tête. J'ai pris ma place pour aller le voir en concert très tôt ce matin, ce sera pour la semaine prochaine et je sais pas pourquoi, cette chanson-là en boucle, alors qu'il y en a tellement et tellement.
(Plein, plein, plein de courage)

Il y en a tellement et tellement. Mais c'est toujours celle-ci qui me vient en tête aussi. Pourtant, ce n'est pas celle qui a ma préférence. A n'y rien comprendre. Ne pas vouloir comprendre du moins. Tu as écouté le dernier album? Il est bien? J'aimerais bien le revoir aussi. Une prochaine fois.
(Merci)

J'ai seulement écouté deux ou trois chansons. Je n'ose pas aller plus loin. J'ai tellement peur d'être déçue, comme pour le précédent album. 

Je reviens déposer des mots. Je crois que cela fait trois fois que je viens ici, que je lis l'article et que je repars muette. 

Je t'envoie de la force, du courage. J'espère que tu parviendras à te créer un nouvel horizon. Et puis, si tu veux venir te reposer à Poitiers, tu sais que les portes sont grandes ouvertes. Tu verras, Poitiers c'est vert, c'est chouette. C'est apaisant, je trouve. 

Ma grand-mère est partie en août. Je crois comprendre ce mélange de tristesse et cette façon de se dire au fond, que c'est sûrement mieux que ça. Que lorsque la souffrance arrive à un point extrême, cela ne sert à rien de s'acharner. 

Je t'embrasse, bien fort. 

Merci May. Je note et je souris pour l'invitation. Je ne sais pas trop quand ni comment mais ça me fait plaisir. Vraiment. J'ai des mots prêts à partir pour toi. Je crois qu'ils sont plus d'actualité maintenant. Mais tout de même. Je pense à toi.
Le plus dur a été je crois quand j'ai vu cette plaque sur le cercueil. Année de naissance. Et ce 2011. Je crois que ça a été ça le plus difficile en fait. Les chiffres ne mentent pas. Après, on le savait tous que ce n'était qu'une question de jours. De mois. Et ma petite grand-mère. Condamnée à être celle qui reste. Je t'envoie des pensées aussi.
Des sourires aussi.
T'embrasse.

Envie d'ailleurs, à croire que c'est récurrent. Ce n'est pas tant la lassitude du paysage que notre propre lassitude. J'envisage aussi de partir, je m'ennuie, je voudrais me mettre des coups de pieds aux fesses. Mais procrastine qui pourra.

Tu as toujours de jolis mots pour les choses heureuses et les plus tristes. Il faut passer le cap, aller encore un peu plus loin, je te souhaite du courage, plein, tout plein, encore.

Des bisous

Je ne sais pas si ce sentiment qui t'envahissait est toujours là, mais je voulais juste te dire d'y croire encore, un jour, le soleil réapparaît. Et là, on ne revient vraiment plus jamais en arrière.
Courage à toi...

Merci. Dix huit mois sont passés. Et je me rends compte que beaucoup de choses ont changé. Un nouveau boulot le sourire aux lèvres. De nouvelles rencontres.
Merci pour ton mot. Il est arrivé sans le vouloir le jour où je prenais un an. Et revenir ici m'est toujours si doux.