Daisy Nepsy
Allez. Prononce-le vite ce titre, et tu comprendras. Cette chanson, c'est ma soeur qui me l'a mise dans les oreilles et dans les couloirs de la fac, on la chuchotait avec Ellie. D'elle, je n'ai plus de nouvelles. Ces amitiés légères et éphémères. Celles que l'on se choisit tout en sachant que. C'est affreux, n'est-ce pas. Et pourtant, je le savais. Que tout ceci se cantonnerait à la fac. Comme l'impression que tous mes dires sont pris à l'envers. Alors, je n'ouvre ni la bouche ni les mails. Cette semaine sera sans. Rien. La fatigue enlève le sens de l'humour? Ou peut-être seulement qu'il m'a laissé sur le bord de la route. Heureusement, elle finit demain, cette semaine. Dans les urnes. Encore une fois. Ce n'est pas comme s'il y aura de grosses surprises. Il n'y a qu'une liste.
La route toute la matinée. Et tout l'après-midi. Enfin, tout. c'est beaucoup dire. Sur ces quelques minutes, il n'y a que le vide en tête. Je ne pense qu'aux ralentisseurs que je prends à 50. En roulant de chaque côté de la ligne blanche. Et l'autoradio à fond. Parfois la fenêtre ouverte pour garder les yeux ouverts. Et cette chanson. Daisy Nepsy. Des inepties.
Pour ne rien dire. Par ne rien faire. Il y a ce dossier qui doucement prend de plus en plus d'importance. Mais dans la tête seulement. Je voudrais tomber malade pour demain. Ne pas les revoir. Pas maintenant. C'est encore trop tôt. Je n'ai pas eu le temps de les désapprendre. Et je ne veux pas traverser Paris en métro. Dehors, il pleut. Et je ne veux pas marcher sous ce ciel gris. Laissez-moi attendre le soleil et le ciel bleu. Laissez-moi gagner les bords de mer. Vivement mai. C'est quand déjà? Avril ne peut pas s'éclipser entre parenthèses.
Laisse-moi aligner ces absurdités. Baliverne, bêtise, idiotie, niaiserie, sottise, stupidité.
La route toute la matinée. Et tout l'après-midi. Enfin, tout. c'est beaucoup dire. Sur ces quelques minutes, il n'y a que le vide en tête. Je ne pense qu'aux ralentisseurs que je prends à 50. En roulant de chaque côté de la ligne blanche. Et l'autoradio à fond. Parfois la fenêtre ouverte pour garder les yeux ouverts. Et cette chanson. Daisy Nepsy. Des inepties.
Pour ne rien dire. Par ne rien faire. Il y a ce dossier qui doucement prend de plus en plus d'importance. Mais dans la tête seulement. Je voudrais tomber malade pour demain. Ne pas les revoir. Pas maintenant. C'est encore trop tôt. Je n'ai pas eu le temps de les désapprendre. Et je ne veux pas traverser Paris en métro. Dehors, il pleut. Et je ne veux pas marcher sous ce ciel gris. Laissez-moi attendre le soleil et le ciel bleu. Laissez-moi gagner les bords de mer. Vivement mai. C'est quand déjà? Avril ne peut pas s'éclipser entre parenthèses.
Laisse-moi aligner ces absurdités. Baliverne, bêtise, idiotie, niaiserie, sottise, stupidité.
[ Oh ce soir Daisy a le coeur lourd
Dans le noir ses inepties lui jouent des tours
Ses désirs se brisent
C'est encore un jour sans amour
Daisy, Daisy, Daisy...
Martin Rappeneau, Daisy Nepsy ]
Dans le noir ses inepties lui jouent des tours
Ses désirs se brisent
C'est encore un jour sans amour
Daisy, Daisy, Daisy...
Martin Rappeneau, Daisy Nepsy ]
Par Cio | D'hier | Samedi 8 Mars 2008, 13:49 en Demain | A l'infini | 4 mots
par ecilora, le Dimanche 9 Mars 2008, 20:14
Souffler une douceurpour quoi? Pour qui? Pour tout? ;)
J'adore cette chanson. Elle n'est peut-être pas très gaieie mais je peux l'écouter encore et encore sans jamais l'arrêter. Elle sait si bien coller à mon esprit parfois que.
Douceurs
1 -par mondaye, le Dimanche 9 Mars 2008, 09:45 Souffler une douceur