[ La plume qui pêche à la ligne ]
Août s'endort à peine. Dehors, le vent se lève et des voix inconnues se perdent à l'horizon. La fenêtre entrebaillée laisse entrer les premières couleurs d'automne. L'été partira. Bientôt, encore une fois. Je ne l'achèverais pas au même endroit au nouveau cycle. J'entame le décompte. De nouveau.
["Puis, comme les pleurs, parfois, lorsqu'ils sont ronds, forts et solidaires, laissent derrière eux une longue plage lavée de discorde, la pluie, l'été, balayant la poussière immobile, fait à l'âme des êtres comme une respiration sans fin."
L'élégance du hérisson, Muriel BARBERY]
["Puis, comme les pleurs, parfois, lorsqu'ils sont ronds, forts et solidaires, laissent derrière eux une longue plage lavée de discorde, la pluie, l'été, balayant la poussière immobile, fait à l'âme des êtres comme une respiration sans fin."
L'élégance du hérisson, Muriel BARBERY]
Par Cio | D'hier | Dimanche 31 Août 2008, 16:53 en Demain | A l'infini | 2 mots
par ecilora, le Mardi 2 Septembre 2008, 22:51
Peut-être ça?Souffler une douceur
Douceurs
1 -par passionnee-par-les-reves, le Mardi 2 Septembre 2008, 02:29 Souffler une douceur