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L'envol * La liste * Tiroirs * Session

Et demain, j'irais voir la mer.

Et il faut aussi dire que je traverse la France pour voir une amie. Et que 3h30 au Sud, je retrouve mes amies vues la semaine dernière. Il y a des mois où les weekends sont rires et sourires. Et comme ça fait du bien. Demain, M*ntpellier.
Je songe sérieusement à avril.

Souvenirs de vacances



Je ne sais plus depuis combien de temps je n'avais pas mis les pieds dans un zoo avant cet été. Une éternité. Pourtant, je travaille pas loin d'un. Mais non. Il faisait  encore chaud quand nous sommes arrivées. En même temps, pendant quinze jours, j'ai eu froid une seule nuit et c'était à cause de la clim.

Comme ça me fait étrange d'aborder une des dernières étapes de mon voyage trois mois plus tard. Il y a deux jours, elle me disait qu'elle allait se baigner pendant que moi, désespérée, je regardais la pluie tomber. Il y a deux jours elle me disait qu'il y avait des postes à pourvoir là-bas. Il y a trois mois, je disais à ma sœur que je ne savais pas si je rentrais. Mais bien sûr que si, je rentre. Et la chaleur tropicale ne devient pas une réalité. Elle reste en ligne de mire, associée à la douceur des vacances.

Bref, j'ai passé deux ou trois heures hors du temps. Il a fallu photographier à peu près tous les animaux. Mais d'abord, il fallait les voir. Les félins étaient tous en train de dormir à l'ombre. Les singes quant à eux étaient en forme. J'ai vu des caïmans. Aperçu l'extrémité d'un dans une mare couleur nuage. J'ai été soufflée devant la couleur des aras. Aujourd'hui, je ne sais pas si ce sont les rouges ou les bleus qui m'ont le plus ébahie. J'ai croisé un tapir et vraiment, je croyais que c'était minuscule ces choses-là. Je me suis trompée. Il y a eu tellement. Je me suis promenée la tête en l'air et les yeux guettant le moindre mouvement. Et sur le sentier, je chantonnais les chansons de Sid, de Baloo ou celle de la famille tortue. Il y a des gens qui nous regardaient passer les yeux ronds. Moi, je savais que deux jours plus tard, je rentrais. Et je ne voulais pas. Regagner Paris. Rentrer. Revenir. Alors, il suffisait juste de chanter un peu plus fort.

 






La suite sera la fin.
Alors, je ne sais pas trop
si elle viendra.
Ou pas.

A quai.

Les Îles du S*lut.

Aujourd'hui, c'est un petit coin de paradis. L'eau bleu azur, les palmiers, les vagues qui s'écrasent sur les rochers, les embruns qui volent. L'eau qui est chaude, le vent qui ne rafraîchit pas. Alors bien sûr ça fait rêver. Quelques heures auront suffi.

Vraiment, j'ai savouré ces instants. Ce rêve un peu éveillé. J'avais en tête que certains ont ces photos en fond d'écran et rêvent d'y aller. Un de leurs buts à atteindre. Les îles...

Alors, j'ai savouré l'instant. Mais tout de même, j'ai préféré la pirogue.





A suivre

Sur le chemin des Îles

 

De Ko*rou, je ne retiendrais pas grand chose. La ville ne m'a pas plu. Sûr, je n'y ai passé que quelques heures au final. Mais j'avais cette impression d'être dans un lotissement géant. Et. Non. Définitivement. Toutefois, la tour multicolore a valu un tour de rond-point supplémentaire. Un arrêt intempestif peut-être mais je la voulais en photo, cette tour qui me fait penser à un légo. Toutefois, c'est là-bas que je me suis posée seule en terrasse, un diabolo menthe sur la table, pour écrire mes cartes postales. Et ça devait bien être une première fois.

Ko*rou, c'est le départ pour les Îles. Et en route pour le paradis. J'aime faire du bateau. J'adore ça. Monter sur le petit voilier de mon oncle et toucher l'eau au gré du vent, c'est un petit quelque chose qui n'admet aucune comparaison. Alors, quand j'ai vu le catamaran à quai, j'ai eu un grand sourire. Je n'attendais qu'une chose: qu'ils libèrent les voiles. Mais le vent n'était pas de la partie. Il a fallu savourer le plaisir de voir la terre s'éloigner des bateaux.

 
 

A suivre

Au fin fond des souvenirs